Il est allongé par terre et me regarde venir vers lui.
Je porte un corset et des gants en latex, des escarpins à talons aiguille et des bas à très large résille, un string noir. Je sens que cela lui plaît. Ses yeux sont mi-clos et l’excitation est visible partout sur son corps.
Je le contourne lentement en le frôlant de la pointe de mes escarpins. Il suit tous mes mouvements. Je m’arrête au dessus de sa tête.
Quelques mots, d’une voix sévère, dure et froide.
« A quatre pattes »
Je passe derrière lui pour aller chercher la cravache et la corde que j’ai apportées. Puis je me replace juste devant lui. Je pose la cravache et la corde entre lui et moi.
Ma main vient soulever son visage, fermement, presque brutalement par contraste avec cette immobilité dans laquelle il se trouvait. Mes doigts remontent de son menton vers sa bouche, dessinent le contour de ses lèvres. Alors que mon pouce reste plaqué sur sa joue, mon index force l’entrée de sa bouche et il relève encore la tête. Je saisis ses cheveux pour qu’il ne bouge plus. Ils sont très courts mais je les tiens serrés entre mes doigts, au niveau de la nuque, là où la sensibilité rend les mouvements douloureux. Et le tenant encore par les cheveux, je l’oblige à se soulever et se mettre à genoux.
Je fais glisser mon string, très lentement.
Je tiens dans ma main ce morceau de tissu imprégné de mon odeur et de mon humidité en le fixant dans les yeux. Je le passe sur son visage, sur son nez, ses yeux. Et je le gifle avec, d’un mouvement soudain. Puis je l’enfonce dans sa bouche.
Je saisis la corde et attache ses bras avec, sans changer de place, ma poitrine juste devant ses yeux pendant que je l’entrave.
Je me redresse et me cambre, écarte les jambes. Mon sexe est juste à la hauteur de sa bouche, désormais condamnée. Je ferme les yeux un instant pour mieux me laisser aller puis les rouvre pour le regarder.
« Je vais te pisser dessus »
J’écarte mes lèvres et déverse doucement sur lui mon liquide chaud, qui coule dans son cou, sur ses tétons, son ventre, son sexe, entre ses jambes. Je saisis à nouveau ses cheveux pour rejeter sa tête en arrière. Puis j’arrache le string d’entre ses lèvres et lui permet de me boire. Le jet plus fort inonde sa bouche.
« Nettoie-moi bien »
Sa langue glisse le long de mes lèvres et s’insinue entre elles, insiste sur le méat, débordant sur mon clitoris. Très bon travail.
« Suffit »
Je me recule et il reste immobile, toujours à genoux, entravé, trempé de mon urine, bandant, attendant la suite.
« Ne bouge pas »
Je m’écarte de lui et vais m’allonger sur le canapé, sans plus le regarder, mais les jambes écartées vers lui. Et je me masturbe longuement.
Il est toujours à genoux. Je sais qu’il me regarde mais qu’il ne fera rien tant que je ne l’y autoriserai pas.
Après un long moment à savourer ce plaisir, je me lève.
Je m’approche de lui et glisse autour de ses yeux ce bandeau que j’ai apporté.
Je me penche vers lui doucement, mes lèvres prêtes à toucher les siennes. Il sent ce souffle, cette chaleur, mais dès qu’il esquisse un mouvement de la bouche pour me rejoindre je le repousse en arrière et cingle ses hanches avec la cravache. Je promène l’extrémité en cuir sur son sexe tendu dans de ce désir d’être soumis, encore et encore.
Je suis derrière lui et il est à ma portée. Il reste sans bouger, la tête légèrement en arrière, dans l’attente. J’enfile ce gode ceinture qu’il n’a pas encore vu. Il écoute les bruits venant de derrière lui en essayant de comprendre ce que je fais.
Je m’avance et me place devant lui. J’enfonce désormais mon majeur dans sa bouche tout en passant la cravache sur ses couilles. Je remonte vers la pointe de ses seins et après les avoir excités un peu, je les pince et les tire.
« Tu sais ce qui t’attend ? »
Bien sûr, il ne répond rien mais gémit faiblement.
Ma main descend vers son cul et s’insinue dans le sillon. Je fais de petits mouvements de doigts sur son anus, des petites tapes, d’abord très légères.
Il commence à réagir à mes stimulations. Je détache ses bras et pousse sa nuque vers l’avant. Il est un peu engourdi mais se remet à quatre pattes, la tête penchée. Il est bien cambré, offert.
Un scénario que j'avais eu plaisir à préparer pour R il y a quelques temps malgré ma difficulté initiale à jouer ce rôle... Ce scénario m'a demandé beaucoup d'efforts d'imagination et d'implication. En effet, au contraire de ce qui est décrit ici, j'aime la soumission, je suis soumise et ce positionnement n'a fait que se confirmer au fil des années et des expériences...
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Je m'approche d'Elle. Je sais qu'Elle est là pour ça. Elle est venue échanger quelques mots avec nous en début de soirée. Sur nos envies, nos attentes, nos limites. Je l'ai vue officier au cours de la soirée avec différents Soumis. Elle est remarquablement expérimentée et s'adapte parfaitement. Et ce club du Cap est envoûtant. Je m'y sens chez moi.
Je reste près d'Elle. Puis je lui parle. "Vous êtes disponible? J'aimerais..." Elle comprend très bien et sourit. Je ne veux plus du tout parler lorsqu'Elle aura commencé à me prendre en main, je ne veux pas qu'Elle m'interroge. Je veux juste être livrée à Elle.
"Va te placer à quatre pattes sous la roue et attends-moi."
La roue? Je lui obéis.
J'échange un dernier sourire de connivence avec JC en passant devant lui.
Cette roue est accrochée au plafond au centre de l'espace de convialité. Il me semble qu'il y a beaucoup de monde qui me regarde et cela m'intimide. J'ai hâte de ne plus rien voir et je suis sûre qu'Elle me privera de ce sens pour que je sois mieux à Elle.
Elle arrive. Elle couvre mes yeux d'un bandeau.
La séance a commencé. Je suis livrée à Elle.
Elle pince la pointe de mes seins. Très fort. Longuement. Ce n'est pas agréable mais ce n'est pas le but non plus. Juste accepter que mon corps soit à Elle.
Il se joue là quelque chose d'étrange mais finalement d'une logique implacable.
Je L'ai vue s’occuper précédemment d'autres personnes à qui Elle donnait beaucoup de plaisir tout en contrôlant leurs sensations, perturbant leurs repères sensoriels, les surprenant constamment - ils avaient les yeux bandés également. C'était une domination soft et sensuelle alors que de mon côté je Lui ai dit que je recherchais quelque chose de plus fort, qui m'amènerait à me déconnecter davantage. Alors Elle me met en condition d'esclave qui doit tout accepter, tout de suite. Etre dans la sensation agréable, c'est savoir que la Maîtresse fait des efforts pour plaire à la soumise. Là, non, je ne dois surtout pas avoir cette impression. Voilà comment je vis le triturage de mes tétons. Tout cela circule dans ma tête et mon corps sans que j'y pense vraiment. Des évidences et des adaptations sans réflexions.
Et puis Elle enfonce un gode dans mon sexe, brutalement. Il est dur, en plastique ou en bois. C'est très différent de la douce chaleur d'un pénis. Ce n'est pas agréable non plus. Mais c'est le prolongement de Son emprise sur moi. Elle me pénètre fortement avec cela. Mes cuisses se resserrent dans un premier temps pour me faire échapper à cette sensation de pénétration sans ménagement.
Là encore, c'est aussi étrange qu'implacable.
Elle doit bien sentir que je suis un peu sur la défensive. Mais elle ne change rien. Et dans ma tête il est très clair que c'est à moi de m'adapter puisque je suis là pour cela. J'ai même peur par moments de cet objet inconnu - je ne suis pas habituée aux godes. Mais à aucun moment je ne me demande ce que je fais là par exemple. Je suis dans mon élément. Après avoir serré les cuisses et constaté que ça ne change rien à ce qu'Elle a décidé de faire, je me relâche progressivement au point de me dire que tout peut arriver et que c'est à Elle de faire ce qu'Elle veut de moi. Mais je ne suis pas du tout dans la logique du plaisir de type sensuel. Et Elle non plus. Je me laisse aller. Il le faut.
Elle continue ses va-et-vient profonds. Cela dure longtemps, jusqu'à ce que je sois totalement à Elle. Et dans cet état d'esprit, compte tenu de ce qu'Elle me fait, arrive le résultat mécanique qui doit arriver. Je suis tellement dans le lâcher prise que j'arrive à jouir. Une volupté étrange. Un orgasme d'obéissance.
Elle me fait me relever et m'ordonne d'attendre, debout, les yeux bandés, sans savoir.
Elle revient et fixe quelque chose autour de mon cou. Un collier, très large.
"Relève-toi." Elle m'emmène.
Un rideau.
Une porte.
Une marche.
La rue. Nous sommes dans la rue. Le bandeau laisse filtrer par le dessus et le dessous une lumière beaucoup plus vive que dans le club. Et je sens les gens autour de moi, qui s'arrêtent et chuchotent. Je me sens très exposée. Je me laisse aller, je déambule derrière Elle, au bout de la laisse. J'aime cette sensation. Je me sens ramollie, je flotte.
Elle va me promener comme ça et nous allons retourner dans le club.
"Attention, la marche."
Et puis le rideau.
Des gens, qui bougent, viennent vers moi.
"Il y a beaucoup de monde. Beaucoup de personnes qui te regardent."
"Tu sais où nous sommes?" Je me suis interdit de parler. Pourquoi me demanderait-elle cela si nous étions retournées au club?
"Nous sommes dans un cinéma." Mais quel cinéma? Nous n'avons pas fait beaucoup de chemin.
"Il y a beaucoup d'hommes autour de toi. Je vais placer la laisse sur ton épaule et rester derrière toi. Tu vas t'occuper d'eux."
Cette situation est au delà de mes espérances. De l'inconnu, des inconnus, de la pluralité, de la soumission. Mais en plus, je n'ai aucun repère par rapport aux lieux ni à ses utilisateurs. Je ne peux me faire aucune représentation de rien et je dois tout intégrer sans broncher. Je suis dans le fantasme brut.
Mais qu'est-ce que je dois faire? Qui va décider de ce que je vais faire? Eux? Et JC sait-il que je suis là?
Débranche! Tu n'as pas le droit de réfléchir.
Je tends les mains pour découvrir mon environnement. Dans ce noir qui n'est que le mien. Des sexes d'hommes qui, eux, me voient, viennent à la rencontre de mes mains. Je me laisse porter par ces contacts. Mais ces hommes sont assez passifs. Je suis habituée à des contacts plus étroits et fourmillants dans ce que je connais de la pluralité. Là, non. On dirait qu'ils hésitent. Cela ne m'aide pas. Je dois prendre beaucoup d'initiatives alors que je voudrais et devrais juste me laisser faire et répondre. Mais comment les blâmer? Il n'y a pas de code de comportement dans cette situation inédite. On n'apprend pas aux apprentis coquins comment agir quand une femme est brutalement livrée à eux à l'improviste dans un cinéma porno où ils flottent dans leurs propres fantasmes. Ce n'est pas un lieu habituel de gang bang.
Je continue à masturber tous ces sexes, au hasard, à tâtons, les plus proches.
Un crissement de papier métallique, de plastique. Un préservatif, qu'un des hommes enfile. Est-ce qu'Elle lui a donné l'ordre de me prendre? Il ne bouge pas. Donc il attend que je bouge moi-même. Mais je n'ai pas de consignes. Je ne sais pas ce que j'ai le droit et surtout le devoir de faire. Je me sens pétrifiée. Je continue à les masturber successivement. Mais pourquoi ce préservatif?
Et je me demande à nouveau si JC sait où je suis. J'aimerais qu'il me voit.
Je me rends bien compte que je me pose trop de questions et que je ne devrais pas. Je n'arrive pas à m'abandonner malgré le plaisir de la situation.
La voix de JC à mon oreille et sa main sur mon épaule. "Je suis là." Ouf. D'un côté ce n'est pas du jeu. Parce que tous mes sens et mon esprit ne devraient être focalisés que sur Elle et les situations dans lesquelles Elle a la fantaisie de me placer. Mais je ne devrais pas me poser toutes ces questions non plus. Elle a dû sentir que j'étais un peu perdue. Et que cela limitait ma soumission. Ou JC l'a senti.
En tous cas, le repère familier de cette voix au milieu de nulle part me redonne tout à fait confiance et me replace dans mon rôle. Je n'ai pas davantage de consignes mais je me sens beaucoup plus à l'aise pour me laisser aller aux désirs de ces inconnus. Il me connaît parfaitement et saura contrôler ces hommes pour que je me lâche d'autant.
Une brusque action de coercition comme un coup de cravache m'aurait tout aussi bien replacée dans ce rôle de soumise qui doit juste se plier aux situations qui se présentent, mais Elle ne me connaît pas assez pour risquer une manoeuvre qui pourrait avoir l'effet inverse chez une personne inexpérimentée.
Je comprends le pourquoi du préservatif. JC a dû leur dire d'en enfiler un systématiquement, que ce soit pour la fellation ou la pénétration. Il sait que j'adore les relations rapides avec des inconnus, mais que je me méfie de leur état sanitaire ou leurs comportements.
Je m'agenouille et ma bouche s'associe à mes mains pour leur plaisir à tous. Le collier me gêne un peu. Il est trop large pour que je puisse baisser la tête confortablement. Mais cela fait partie du jeu et je me plie à cette contrainte.
Je continue longuement à répondre à ces désirs multiples et pressants.
Ils ne savent toujours pas trop jusqu'où ils peuvent aller et restent assez immobiles. De mon côté, je n'ai toujours pas de consignes, et je ne peux pas me représenter la configuration des lieux pour évaluer quoi y faire. Alors je me relève et chuchote à ceux qui m'entourent d'éjaculer sur ma poitrine. C'est quelque chose que j'apprécie mais que je n'ai jamais fait dans un contexte de soumission comme celui-ci. Par contre j'ai déjà regardé avec fascination des femmes s'y livrer. Alors ils s'exécutent avec plaisir apparemment. Je me place dans une position qui leur permet de le faire facilement. Je continue à les caresser en même temps. Et je sens l'homme à ma gauche se crisper sans bruit et venir jouir sur mes seins. D'autres le font peut-être aussi en même temps, des hommes que je ne touche pas. Je ne sens que ce liquide.
Je me relève finalement et tourne la tête dans la direction où doit être JC. Il s'approche. Je lui dis que la séance a assez duré pour moi.
Il prend mes mains et m'entraîne vers la rue. Je ne suis pas surprise qu'il ne me mène pas avec la laisse. Il m'accompagne avec tendresse et vigilance dans la réalisation de mes fantasmes mais la domination n'est pas son truc. Il ne doit pas éprouver la moindre fierté à me promener ainsi, nue, yeux bandés, cou enserré dans un collier, au milieu de ces passants qui suspendent le cours de leurs actions pour nous regarder passer. Il est certainement heureux pour moi, autant que je le suis quand je l'accompagne dans ses jeux, mais ces regards environnants doivent lui paraître très lourds. Cette situation me fait penser à ces couples que nous avons croisés, avec une femme paraissant totalement soumise à un homme qui n'était peut-être finalement que l'instrument de sa soumission. J'ai déjà bien compris à quel point les hommes soumis peuvent fabriquer des femmes dominatrices. Mais bien sûr, cela marche aussi dans le sens inverse, des soumises fabriquant des dominateurs, de circonstance au moins.
Je chasse ces idées fulgurantes pour ne plus penser à rien, dans le bien-être de ma soumission. Je continue ma déambulation passive. Je suis ravie de cette soirée, de ce sperme d'inconnus sur ma poitrine au milieu de ces regards perplexes d'inconnus, autant d'inconnus qui ne s'incarneront jamais.
Un coup de fouet dans l'air me fait sursauter.
Cette fois, nous retournons dans le club. Le bandeau m'est ôté. J'ai l'impression de tomber d'une autre planète. J'embrasse JC et je La remercie chaleureusement.
Merci à toute l'équipe du Clair Obscur au Cap d'Agde pour ce fabuleux moment
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Nous allons et venons avec JC. Nous connaissons bien ce club. Nous prenons plaisir à ce vagabondage des rencontres et des conversations. Les uns, les autres, connus, inconnus...
Nous rejoignons la piste de danse. Les choses deviennent plus précises. Un couple lui plaît particulièrement. Il me le dit et je lui souris, de connivence. Il s’approche d’eux pour danser avec elle. Je les regarde se frôler. Lui-même me regarde et vient m’embrasser entre deux caresses. Je danse aussi en baignant dans cette ambiance de séduction sexy. Le compagnon de cette femme vient me prendre par la taille et se colle à moi. Je laisse ma tête aller sur son épaule. Nous continuons ainsi lascivement un bon moment.
Progressivement, JC embrasse la femme de plus en plus intimement. Il écarte les pans de son bustier. Elle me regarde et je vais moi aussi profiter de cette étreinte. Nos lèvres se promènent sur ses seins. Son homme derrière moi continue à me caresser aussi. Nos bouches explorent toutes les parties accessibles de son corps. Elle continue à bouger imperceptiblement, dans un mouvement de danse maintenant ralenti, mais qui la maintient à mi-chemin entre le jeu social et le sexe, entre le contrôle sur son corps et le lâcher prise. Le jeu a commencé avec la femme et il se prolonge ainsi, mais il me semble qu’il serait correct que je me tourne vers l’homme, qui risque de se sentir à l’écart. Ou bien, pour prendre sa place, il va venir participer plus étroitement à nos mouvements.Et c’est ce qui se passe. Sa main s’insinue entre mes jambes. Alors que je sais à peine à quoi il ressemble. Nous restons tous dans la même configuration. Et JC aussi fait jouer ses doigts sur le sexe de cette femme qui ne bouge désormais plus du tout. Elle me regarde. Sa respiration est de plus en plus forte et son corps bascule doucement. Je m’approche d’elle pour entendre ses gémissements couverts par la musique. Tout en caressant son homme à mes côtés. Je défais son pantalon et sa chemise pour mieux le sentir.
Nous sommes tous quatre partiellement dévêtus au milieu de cette piste et nous nous arrêtons pour nous concerter sur une suite plus confortable. Nous nous dirigeons vers une grande alcôve pour prolonger nos plaisirs. La femme semble beaucoup apprécier mais elle n’est pas très active. Nous comprendrons plus tard que ce n’est que leur deuxième expérience. JC s’occupe ardemment d’elle en me caressant régulièrement et je joue avec mes partenaires en répondant à leurs corps plein d’une excitation dont je profite intensément.
Après avoir un peu repris nos esprits, nous passons un long moment à parler avec ce couple, comme souvent après une rencontre réussie. Et justement, la rencontre ayant été réussie, nous sommes d’autant plus désinvoltes à nous confier nos limites et nos difficultés.
Ils nous racontent leur histoire, que j’ai l’impression d’avoir déjà entendue bien des fois. Ils fréquentent le milieu libertin depuis quelques mois après y avoir mûrement réfléchi. C’est Michel (et oui, il s’appelle Michel) qui a d’abord proposé à sa femme (qui, elle, s’appelle Sabrina) d’explorer de nouvelles pistes. Après avoir été très hésitante, Sabrina s’est sentie prête à ce que leur couple s’aventure dans le libertinage. Une fois la première porte passée et la première angoisse dissipée, elle s’y est sentie très à l’aise. Mais justement, un peu trop à l’aise et cela, Michel ne l’avait pas anticipé. Il a eu le sentiment que sa femme lui échappait un peu et qu’il en avait été responsable en l’y incitant. Ce qu’ils n’avaient pas anticipé non plus, c’est que dans beaucoup de couples en club, il y a une femme très attentive à son allure, très séduisante, et un homme caché derrière elle qui, lui, ne compte plus ou moins que sur le sex appeal de sa femme pour faire des rencontres. Donc forcément, pour un couple novice avec d’un côté un homme qui ne sait plus où donner de la tête tellement il est tenté, et de l’autre côté une femme entourée d’hommes peu affriolants mais que son mari a l’air de vouloir jeter dans ses bras pour accéder à leur femme, bien sûr, le clash est souvent au coin de la rue. Il faut savoir gérer cette somme d’émotions aussi fortes que nouvelles. Et c’est très difficile. Mais ils y sont parvenus, comme la plupart des couples finalement.
Je les écoute en câlinant JC. Notre parcours est très différent, bien sûr. Nous n’avons pas eu toutes ces hésitations, ces angoisses, ces épreuves, mais nous en avons eu d'autres...
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Je me refais l’inconnu du hammam ? Encore plus anonyme.
Les glory holes ? C’est mon fantasme absolu. Côté actif bien sûr. Mettre mon sexe devant un trou à disposition d’hommes qui viendraient le lécher.
La première fois que j’en ai vus, je suis longuement restée à les regarder, fascinée, me représentant tout le plaisir que je pourrais y trouver. Mais leur configuration est faite pour l’anatomie masculine. Même si dans les deux saunas que je fréquente le plus, ils sont très larges, entre 20 et 30 cm de diamètre. Et culturellement, ils ne sont pas destinés aux femmes non plus. Je l’ai tenté avec Niko et un couple proche, mais je les connaissais, donc il fallait beaucoup d’imagination pour rattraper le fantasme. Et le scénario des inconnus sous la table et derrière le rideau que nous avons réalisé au réveillon en était proche, mais je connaissais également les complices qui y étaient cachés, même si du fait de leur nombre il était difficile de savoir qui était qui. Et puis nous étions aussi dans la convivialité, ce qui limitait le jeu.
Je vais le faire.
Je prends la direction du sauna et de ses trous magiques.
Sur la route, je suis très nerveuse. Je vais à la rencontre de l’inconnu comme jamais. Et j’y vais seule, sans complices pour m’accompagner dans cette nouveauté, ce qui est finalement assez rare. Fatiguée, stressée, excitée, j’arrive déjà au sauna au bord de l’explosion.
L’établissement comporte des petites cabines pour ceux qui souhaitent s’offrir aux caresses manuelles et buccales. J’ai remarqué que leur taille et les pratiques en cette matière font qu’une seule personne à la fois y rentre, même si elles comportent plusieurs trous. Je pense que personne ne tentera de m’y rejoindre et que ceux que ma présence attirera comprendront que le jeu est pour eux de l’autre côté de la cloison.
Derrière la paroi percée, une pièce un peu plus grande, complètement obscure, pour ceux qui souhaitent prodiguer des caresses.
Je laisse mon paréo à l’entrée de la cabine, sur le sol, pour faire comprendre aux personnes qui passeront devant qu’une femme y est. Il n’y a pas de code dans ce domaine, alors j’improvise.
Je me tiens à faible distance d’un des trous. J’entends déjà des chuchotements. J’imagine la surprise de ces hommes et leur excitation. Un sexe de femme, là, devant leurs yeux, dans des circonstances aussi imprévues. Juste un sexe. Trempé. Je n’ai aucun doute sur leur désir potentiel.
Ces hommes que je devine ne sont sans doute pas tous à mon goût physiquement mais je me concentre pour évacuer cette pensée et ne me représenter que leur désir et le contact qu’ils appellent.
Je m’approche lentement. Ils pourraient me toucher en passant la main, mais il me semble avoir compris que ceux qui sont de ce côté-là de la cloison n'ont pas le droit de la franchir. Une main visible, c’est déjà presque une personne, ce n’est plus de l’inconnu. Ils attendent que le contact soit possible à travers le trou.
Je me masturbe légèrement, pour leur montrer ce que je souhaite. Je ne veux pas de pénétration. Et je m’approche encore en fermant les yeux. Immédiatement, une bouche, ouverte, qui me happe, dévore mon clito. Je me recule un peu, je voudrais qu’elle soit un peu moins entreprenante pour commencer. Je m’avance à nouveau. Et je crois que c’est une autre bouche cette fois. Le trou est très large et je peux discerner leurs lèvres mais l’obscurité m’empêche de les identifier. Et puis je ne dois pas penser à cela. Je dois juste me laisser aller. Je me colle au trou pour leur rendre l’action plus confortable. Niko m’avait dit que c’était assez pénible sinon. Et je ne les vois plus du tout. Cette bouche entoure tout mon sexe dans de lents mouvements de succion. Elle bouge, juste ce qu’il faut pour que mon corps en réclame davantage. Je caresse la pointe de mes seins. J’entends de nouveau des chuchotements. Peut-être que je vais changer de partenaire ? Non. Il continue, se fait de plus en plus pressant.
Je m’écarte à nouveau, pour bien montrer à tous ces hommes mon sexe luisant, les devinant fous de désir, certainement en train de se masturber en me regardant. Je veux qu’ils en profitent tous.
Et je me recolle au trou, comme pour passer à travers. Une bouche vient s’y reposer et cette fois aspire mon clito, le suce régulièrement. Je continue à caresser mes seins. Je me cambre autant qu’il est possible pour demeurer au plus près de cette bouche. J’accompagne le cuni de petits mouvements de reins. Je voudrais savourer encore longuement la réalisation de ce fantasme que j’ai tant attendue. Mais l’excitation est telle que je me laisse aller. Et je jouis en violentes saccades qui m’écartent de la cloison.
J’entends des gémissements de l’autre côté et je comprends que de nombreux hommes ont su profiter de cette séance particulière à leur façon. Je reste un moment dans cette cabine, à planer, dans un coin, pour qu’ils ne me voient ni ne me sollicitent plus.
Et je sors. J’en vois sortir de la cabine d’à côté. Ils viennent vers moi mais je les remercie en souriant. J’ai besoin d’un rafraichissement et je vais au bar.
Question de vocabulaire : en espagnol, le "glory hole" s'appelle... el "pasillo francès"!
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S'il y a bien un club dont j'aime l'ambiance au Cap, c'est le Jeux de mains. C'est très chaud, les rencontres se font partout et les plaisirs sont très variés.
Cette année, je suis allée m'y amuser plusieurs fois avec mon tendre JC et ce sont les meilleures soirées qu'on y ai passées durant notre séjour, tant par les rencontres qu'on y a faites et qui se sont terminées ailleurs que par les moments délicieux de "consommation" sur place.
J'ai envie de raconter ma soirée la plus torride - les moments les plus forts de cette soirée.
Quand nous sommes arrivés, l'ambiance était très hard. Dans la salle d'alcôves, un couple jouait à la domination de la miss. Elle était tenue en laisse et son compagnon sélectionnait des hommes parmi tous ceux qui étaient agglutinés autour pour qu'elle leur donne divers plaisirs. Mais la foule massée autour d'eux était dense et il était difficile de jouer des coudes pour voir exactement ce qui se passait. On apercevait et on devinait plus qu'on ne voyait. Bien sûr, lorsque j'essayais de m'approcher, des mains me frôlaient et me tentaient.
Plusieurs des autres alcôves étaient occupées aussi.
Nous allions et venions avec JC, nous chuchotant les idées et désirs que suscitaient toutes ces scènes.
Les mouvements de foule ou nos curiosités nous éloignaient parfois l'un de l'autre, mais je reprenais vite sa main, autant pour ne pas le perdre parmi tous ces hommes dans la pénombre que pour me rassurer et garder mes repères par delà tous ces frôlements. Mais être avec lui me donnait encore plus envie de me lâcher. Parce que je me sentais bien accompagnée. Parce que je savais qu'il aimait me voir et me savoir à lui à travers tout ce plaisir que je pouvais prendre avec d'autres hommes. Et parce que nous découvrions et expérimentions avec bonheur ces jeux de regards en faisant l'amour avec d'autres, comme si nos yeux nous unissaient bien plus que ce qu'auraient pu faire nos sexes.
J'avais envie de choisir un homme. Un seul. Davantage, cela me paraissait difficile. Je ne voulais pas avoir à être sur le qui-vive et gérer les sollicitations multiples que le fait d'être avec plus d'un homme auraient sans doute suscitées. Même avec JC qui pouvait surveiller l'action, je préférais indiquer clairement mes limites aux autres hommes présents. Je savais très bien que de nombreux hommes viendraient me caresser et cela me suffisait largement.
Nous nous sommes concertés sur la suite. Je choisirais un homme et il resterait à côté pour surveiller et que nous profitions ensemble de ce jeu.
Nous avons continué à nous promener.
Je captais les regards qui se dirigeaient vers moi et qui nourrissaient mes désirs.
J'aperçois un homme, assis, proche de la scène de domination qui suscite toujours l'intérêt de nombreuses personnes. Il regarde alternativement cette scène et les personnes qui circulent autour de lui. Il a l'air gourmand. Il me plaît physiquement. Je m'approche de lui. Je prends sa main et l'incite à se lever. Il serre ma main et se lève. Je me retourne et l'entraîne sans plus le regarder, mon autre main dans celle de JC devant moi.
Cet homme me racontera plus tard que cet instant précis de quelques secondes où j'ai saisi sa main et l'ai attiré a été un moment extrêmement excitant, où ses attentes diffuses se cristallisaient brutalement sur une femme, où la dimension inattendue et soudaine du geste décuplait ses désirs, où tous les plaisirs s'ouvraient à lui sans qu'il les ait précisément programmés.
Nous nous faufilons doucement à travers la foule.
Nous nous concertons à nouveau très rapidement avec JC.
Je me retourne vers cet homme pour lui demander ce qu'il souhaite, s'il est d'accord pour faire l'amour juste avec moi. Oui.
Ici, toutes les alcôves sont largement ouvertes. Je leur propose d'aller nous installer dans un espace proche d'un mur, pour éviter d'être encerclés et limiter les contacts, comme cela était prévu dès le départ.
Mais déjà de nombreux hommes ont compris et nous suivent.
Nous nous allongeons. Il me dit son prénom, S. Je lui dis le mien.
Il m'incite à être au dessus de lui. Cela me va d'autant mieux que comme cela, je peux régulièrement échanger des baisers avec JC qui reste debout, prendre sa main... Et puis les hommes autour peuvent en profiter pour me caresser, mais JC leur fait comprendre que nous ne souhaitons pas d'autres participants.
Nous faisons longuement l'amour comme cela, dans cette atmosphère brûlante, dans cette bulle de pur sexe. Il me dit ce qu'il aime et je réponds à toutes ses envies.
Tout cela est très nouveau pour moi. J'ai déjà eu des expériences de pluralité avec des complices qui me guidaient et me protégeaient, mais sans sentiments tendres entre nous. Et rarement avec autant de personnes autour, dont je pouvais voir l'envie intense de prendre part à nos jeux - dans ces autres expériences, soit c'était dans l'obscurité totale, soit j'avais les yeux bandés.
Mais là, je me sens dans un triangle magique. Ces hommes amassés au désir prégnant. Cet homme avec lequel je fais délicieusement l'amour. Cette complicité amoureuse avec JC. Je m'emplis de ces émotions et plaisirs multiples qui se nourrissent les unes les autres et je les partage avec les autres participants à cette scène.
Nous restons dans ce triangle un long moment, mon partenaire et moi sur l'alcôve, JC juste à côté, les autres hommes dans une pluralité soft.
Cette première partie de soirée se termine, mais nous savons tous que ce n'est qu'un début...
Nous nous câlinons un peu avec JC, ravis tous les deux. Il repart se promener seul et je vais me rafraîchir.
Je n'ai pas le temps d'arriver jusqu'aux douches que S me voit passer et me plaque au mur en me disant qu'il me désire à nouveau. Cela me fait rire. J'insiste pour aller aux douches mais il s'amuse à m'en empêcher. Après tout, tant pis pour lui, je serai moins appétissante, il me semble...
Au minimum, j'ai besoin de boire un verre d'eau ou de jus de fruit et nous nous dirigeons vers le bar. Il continue à m'enlacer et me caresser. Son pantalon est défait et j'en profite pour jouer avec son sexe, ce qui ne diminue pas son envie.
Je lui dis qu'avant de recommencer, je veux me concerter avec JC et nous retournons vers la salle d'alcôves.
Mais cette fois je me sens beaucoup plus en confiance. Il me semble que je pourrais accepter d'autres hommes. Et que peut-être je n'aurais plus forcément besoin de JC constamment à mes côtés. Il me suffirait de savoir qu'il n'est pas loin.
Et c'est exactement ce qui se passe.
Nous nous installons dans un espace beaucoup moins isolé.
S s'assied et je m'accroupis devant lui, plus accessible aux autres hommes. JC est dans la même perspective que moi et il se tient en retrait derrière eux, leur laissant toute lattitude d'action.
Je ne vois pas ce qui se passe mais je sens ces mains et ces sexes qui cherchent mon corps pendant que je rends mon partenaire fou d'un plaisir décuplé par la vue de ces hommes et le sentiment de m'avoir toute à lui. Ma bouche lui est réservée mais des mains saisissent les miennes et les attirent vers des sexes tendus. Certains hommes sont brusques, d'autres caressants et je réponds à tous. Mes mains sont échangées et je savoure cette sensation d'abandon aux désirs multiples qui se communiquent à moi.
Et puis j'ai besoin de sexe moi-même, besoin de faire exploser cette excitation puissante.
Je me relève et cherche des yeux JC. Il me sourit. Puis je regarde S, fiévreux, qui semble me demander ce que mon corps réclame pour la suite. Je le plaque sur l'alcôve et enlève tous mes vêtements. Je lui tends un préservatif qu'il place d'un geste rapide et précis. Et je m'empale sur lui. Les autres hommes nous entourent de plus près et continuent à me solliciter. Mes reins bougent et bougent encore et je ferme les yeux, je m'emplis des sensations, de cette odeur d'hommes et de sperme, de cette chaleur des corps près de moi, des mouvements alentour, des gémissements de S et je me laisse totalement aller à un plaisir violent qui me fait défaillir.
Je ralentis mon mouvement, puis je ne bouge presque plus, les yeux toujours fermés pour mieux savourer cette ambiance par mes sens les moins cérébraux. Je reprends possession de mes mains et caresse le torse de S. Je suis surprise de sentir des lèvres sur les miennes. J'ouvre les yeux. C'est JC. Et je réponds avec bonheur à son baiser.
Il me racontera par la suite que lors de cette deuxième phase où il était resté légèrement en retrait, les hommes présents n'avaient pu comprendre quelle place il avait. Et lorsqu'il s'était rapproché en les écartant un peu, il avait suscité un agacement qui l'avait beaucoup amusé et excité. Ces hommes ne voulaient pas le laisser passer, mais sa détermination à franchir le barrage qu'il avait laissé se former les destabilisait et les énervait en même temps. Et lorsqu'il s'était penché pour m'embrasser, plus d'un s'était imaginé qu'il s'agissait d'un simple inconnu plus téméraire que les autres mais que cet acte aurait pu être tenté par chacun d'eux. Et puis bien sûr, ma réponse a remis les choses en place et ils ont bien compris que lui seul en avait le droit.
S est toujours allongé et me regarde. Je sens qu'il a patienté pour mon plaisir mais qu'il a besoin lui-même de se laisser aller à profiter jusqu'au bout de ce moment d'excitation exceptionnelle. Je lui souris et recommence à bouger, lentement, me penchant pour que ma poitrine soit au dessus de ses yeux, le mordant par moments. Et il vient très vite et très violemment lui aussi.
Nous restons à reprendre nos esprits quelques instants, mais l'atmosphère toujours pleine de sollicitations auxquelles nous sommes un peu trop calmés pour répondre nous dissuade de nous attarder.
Nous nous levons et cette fois, j'arrive à atteindre les douches...
Lorsque je retrouve JC et S, ils sont en train de se congratuler mutuellement et se remercier pour tout, ce qui me fait beaucoup rire.
Je les remercie moi-même tous les deux en les embrassant et nous continuons notre soirée en dansant un peu. Elle sera encore longue et riche d'une rencontre avec un couple délicieux.
Peut-être raconterai-je la suite un peu plus tard...
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G :
Après plusieurs mois de relations très intenses et uniquement virtuelles, le printemps arrive et j’ai l’opportunité de me déplacer dans la région où vit X.
Nous parlons longuement des modalités dans lesquelles nous allons nous rencontrer.
Nous pourrions nous retrouver dans l’intimité d’une chambre, prolongeant celle de nos espaces intimes à travers lesquels nous échangeons dans nos jeux habituels. Mais non. Nous décidons de sortir en club, en soirée mixte. Pour éprouver réellement ces allers et venues entre nos désirs réciproques et ceux de tiers. Pour nous replonger dans ce contexte qui nous a mis en relation, moi publiant des récits dans lesquels je racontais mes expériences avec des partenaires pour susciter le désir d’hommes inconnus, lui ayant pris la place d’un de ses inconnus pour devenir un partenaire très privilégié. Et finalement, lui dirigeant maintenant souvent nos séances de jeux virtuels et moi m’abandonnant délicieusement.
Nous nous retrouvons d’abord autour d’un verre. Une rencontre étrange dans cette ambiance de ruche des cafés parisiens où l’intensité des conversations personnelles ou professionnelles autour des petites tables est palpable.
Nous avons longuement discuté de cette sortie en club et nous savons très bien qu’elle va être très forte. Après avoir bavardé en toute complicité, avec cette impression de très bien nous connaître, revenant constamment au sexe, nous nous dirigeons vers le lieu que nous avons choisi pour cette soirée.
Je me change. Il est tôt mais déjà de nombreux hommes et quelques couples sont autour du bar. Nous sentons que nous n’y resterons pas longtemps et le désir s’est largement accumulé depuis notre premier verre. Nous nous sommes décrit toutes nos sensations. Je sais que tu bandes depuis longtemps déjà.
Nous allons nous promener et visiter les alcôves.
Nous retrouver là, dans ces espaces intimes, fait encore monter nos désirs. Je me sens très alanguie, la conscience de mon corps réduite à celle de mon ventre. Je respire lourdement et chaque inspiration durcit un peu plus la pointe de mes seins frôlant le fin tissu de ma robe.
Nous détaillons une de ces alcôves, sans rien dire. Je me retourne et tu es dans l’encadrement.
Tu me regardes étrangement.
Et très vite, tu saisis ma tête. Tu enlèves en un mouvement rapide cette petite robe que je porte et tu me pousses vers le lit.
J’aime la brutalité de ce qui vient de se passer. Je ferme les yeux. Une sensation de soulagement, d’abandon vers le plaisir à portée de main.
Tu étales ma mouille sur mes seins, mon ventre. Tu me lèches, me dévores, me bois… je sens que tu te masturbes pendant que ta langue fouille mon sexe.
Tu te redresses et plantes ton regard dans le mien en me pénétrant d’une poussée brutale que je désirais mais qui me surprend et m’arrache un cri. Je m’enivre de cette façon que tu as de me prendre, en me fixant, en me faisant sentir que tu me possèdes.
Ta main retourne vers mon sexe pour reprendre de cette humidité que tu provoques et la boire avidement. Et tu enfonces tes doigts dans ma bouche, ces doigts couverts de mon intimité que tu me fais ainsi partager. Je sais que tu aimes cela, que tu te délectes de me faire sentir mon odeur pour m’embrasser après. Tu me tiens toujours plaquée contre toi. Tu me pénètres de plus en plus fort en me regardant toujours intensément, scrutant mes réactions de plaisir.
Tu approches ta bouche de mon oreille et me dis que tu adores ma chatte de salope. Que tu me dises aussi intimement que c'est toi qui t'enfonces en moi, là, fait remonter des vagues de plaisir jusque dans ma gorge.
Tu veux sentir complètement cette chienne qui t'a fait tant jouir quand tu lisais ses récits. Tu me le dis comme ça, crûment. Savoir, sentir que je t'ai tellement excité alors qu'on ne se connaissait même pas, que tu étais un de ces inconnus pour qui je me livrais à travers les mots, et que tu me prends, maintenant, brutalement, est une impression vertigineuse. Le rappel des textes que tu m'as envoyés ensuite et de nos échanges écrits remontent en un flot brûlant dans mon esprit, augmentant encore ma jouissance. Cette pénétration est enfin l'aboutissement de toute cette excitation accumulée.
Le fait d’avoir imaginé ces hommes me posséder dans mes récits t'excite beaucoup. Nous sentons et nous savons aussi bien l'un que l'autre que je pourrais m'écarter de toi à tout instant et inviter un autre partenaire qui me baiserait devant toi, renouvelant dans la réalité ce va et vient entre le sexe avec d'autres et le sexe pour toi que tu as pris tant de plaisir à te représenter en me lisant.
J'ai envie de prolonger ce jeu et je m'écarte de toi. Je sais que me voir être baisée par un autre homme te rendrait fou d'excitation. Parce que c’est un jeu, j’y pends un plaisir immense. Cette notion d'"être baisée" est celle du lâcher prise qui n'est possible que parce que je sais que c'est une parenthèse en rupture totale avec le savoir vivre et le respect du partenaire que tu es. Et je sais aussi que de mon regard, je peux à tout instant inverser les rôles, susciter des convoitises, choisir les hommes que je veux, les repousser. Je me rends compte que j'aime user de cette liberté de me soumettre, et éprouver que je l'exerce de cette façon.
Je regarde autour de moi, allant de tes yeux dévorant à ceux des hommes près de nous, qui nous observent, attendent, se masturbent discrètement ou plus visiblement. Je m'éloigne encore insensiblement en te fixant. Tu bandes terriblement et il me semble que plus je m'éloigne, plus ton désir me ramène dans cette alcôve. Je saisis la main d'un de ces hommes. Je l'invite à venir avec nous, il est un peu hésitant et essaie de comprendre quelles sont nos intentions.
Je l'attire vers toi.
"Baise là!"
Je crains un peu que ça le déstabilise, qu'il se sente pris comme un objet, livré en pâture. Mais on ne peut pas s'arrêter pour discuter et s'expliquer ou ça casserait le rythme du jeu.
Je fais un clin d'œil à cet homme, accompagné d'une caresse sur l'avant-bras pour établir un contact humain. Je m'allonge sans cesser de te regarder. L'homme approche son sexe de ma bouche pour que je le suce et je m'exécute. Je sens tes doigts qui entrent à nouveau dans ma chatte, dans un va et vient puissant. Chaque fois que tu sens que je vais jouir, tu t'arrêtes et je n'ai plus que la sensation de ces doigts immobiles en moi, dans l'attente de leur nouveau mouvement. Je suce cet homme, je le vois, je le sens. Et tu me procures en plus cette impression qu'en même temps, un inconnu que je ne vois pas s'est emparé de moi, de mon sexe, de mon plaisir, comme nous en avons si souvent parlé.
Notre invité est de plus en plus excité. Il regarde autour de lui, il ne sait pas s'il peut jouir comme ça. J'aimerais sentir son sperme sur ma poitrine mais c'est un plaisir que je veux te réserver. Je me recule et lui tends un préservatif. Il le met rapidement. Je me lève et m'adosse le long du mur. Il s'approche de moi. Il a compris. Il me prend comme ça, debout, ses mains sous mes fesses, de grands coups de boutoir qui m'arrachent une violente jouissance après cette torture délicieuse que tu as infligée à mon vagin brûlant. Je te regarde et je sais que dès qu'il aura fini, tu retrouveras cette place que tu n'as consenti à lui laisser quelques instants que pour pouvoir la reprendre. Ton sexe est tendu vers moi et je voudrais le toucher mais tu es un tout petit peu trop loin. Encore quelques secondes et je pourrai de nouveau te prendre dans ma bouche.
X :
Ton invité intime te prend de plus en plus fort, te pénétrant de toute sa longueur. Tu te cabres à nouveau, ton désir repart. Il te propose avec ses mains de te retourner pour pouvoir mieux te prendre par derrière.
Je vois ses yeux désirer ton corps, il ne pourrait plus s’arrêter. Te voir te promener presque nue dans le club l’a certainement énormément excité, il en oublie que nous vous regardons, ses couilles tapent sur ton clito et je sais que cela te rend folle. Tu passes une de tes mains entre tes jambes, non pas pour te faire jouir mais pour caresser ses boules. Tu veux décidément qu’il jouisse en toi. Je ne peux que me rappeler à quel point sentir tes doigts mouillés de ta salive sur mes boules est agréable. Habituellement, cette sensation de tes humidités mêlées à tes doigts experts sur le sexe des hommes, sur mes boules, pourrait me faire jouir instantanément, aussi vite que lui.
Je peux deviner qu’il vient de jouir en toi, il se colle longuement. Il caresse une dernière fois tes seins et se retire. Nous voyons qu’il reprend contact avec la réalité et réalise qu’il vient de jouir devant plusieurs hommes se masturbant au rythme de ses coups de reins.
Autour de nous les regards des hommes nous pressent et je sais qu’ils veulent te prendre à leur tour. Je sais également que tu es encore très excitée, ce pénis qui est venu en toi a réveillé ton avidité de sexe.
Je reconnais cette posture que tu prends lorsque tu es en attente de sexe et ce regard que tu adoptes lorsque tu désires les hommes. Tes expressions qui m'ont tant excité à travers tes photos et nos jeux. A ce moment, tes yeux nous supplient de te baiser, peu importe la forme. Je sais que tu les voudrais tous mais je suis là, déjà derrière toi, la queue raide collée à tes fesses. Tu ondules, je sens que tu as envie de moi et tu sais maintenant que je vais te prendre. De mon côté, je peux jouir très vite, la situation m’a excité au plus haut point. Je caresse tes seins que j’ai envie de gober, j’ai tellement envie de toi à ce moment que j’en tremble. Je colle mes cuisses à l’arrière des tiennes. Je te lèche la bouche et prononce ces mots crus qui t’excitent tant. Tu as besoin de queues et moi j’ai besoin de ta chatte. Je te dis que je voulais mettre ma bite dans la bouche d’une autre pendant que tu te faisais baiser, mais te voir te faire prendre m’a tellement excité que je suis resté là, à me branler devant ce spectacle et que maintenant, je n’ai qu’envie de te posséder devant ces hommes qui nous regardent. Tes yeux se ferment légèrement, je sais qu’à ce moment, seule ta chatte chaude t’importe.
Je te demande si la bite de l’autre homme était bonne, si elle t’a bien fait jouir et si tu es prête à aller la lécher de nouveau. Je te pénètre doucement pendant que je te pose ces questions… Je lèche ton cou, ton oreille et reviens à ta bouche que je prends en m’aidant de la main qui me reste libre. J’adore quand tu montres à quel point tu as besoin de te faire baiser. Tes gémissements m’incitent à venir plus fort et plus vite dans ta chatte trempée. Mais tes seins m'appellent, dans leur mouvement hypnotique. Je me calme un peu, je ralentis en fermant les yeux. Je les rouvre et regarde les tiens, lourds de plaisir et de désir de nouvelle jouissance, légèrement plissés et amusés car tu sais comment je veux finir.
Je fais signe à un des hommes nous entourant de venir plus près, ce qu’il hésite à faire. Tu as vu mon geste et ton regard fixe maintenant son sexe, ce qui l’incite à se rapprocher légèrement de toi. Je prends ta main et la dirige vers son sexe en te demandant de le branler, ce que tu fais instantanément. Ma main reste sur la tienne et je te fais faire des va et viens sur sa queue au rythme des nôtres. Je veux te posséder à ce moment, je reprends ma main et insère un doigt dans ton anus.
La vue de cette queue que tu branles si bien pendant que je te prends n’arrête pas de m’exciter, nous avons tant anticipé ce moment que c’est là l’aboutissement de tous nos fantasmes. Mon pouce est maintenant bien profond dans ton petit orifice qui devient de plus en plus accueillant. Notre complice n’arrête pas de te caresser les seins et te mettre ses doigts dans la bouche pendant que tu le branles. Il se rapproche de plus en plus de tes seins pendant que tu continues tes caresses divines sur sa queue écarlate d’excitation. Plus il s’approche de toi, plus cela m’excite et plus mes coups de reins se font plus forts. Deux de mes doigts fouillent ton cul pendant que je te prends en levrette. Cette situation devient une torture, je te murmure à l’oreille que je veux te posséder, te baiser la chatte et la bouche, t’enculer avant de te faire crier devant tous ces hommes qui lâcheront leur jus de plaisir en te voyant jouir à quelques centimètres de leurs queues tendues vers toi. Et je te sens jouir violemment, ton ventre ondulant de spasmes. Et puis ton corps et ton regard, complètement abandonnés.
Je suis au bord de l’orgasme, je retire mes doigts de ton cul, attrape tes cheveux et te bois la bouche, ce qui te fait lâcher légèrement prise sur le sexe de notre complice... Je suis au comble de l’excitation, je dirige brusquement ton visage vers sa queue raide, je veux te voir le sucer avant de jouir, le spectacle est divin et je sais que je ne vais pas tarder à venir. Je sors de ton intimité, me place devant toi, ta bouche quitte le sexe de notre inconnu pour venir se poser sur mon gland. Tu sais que je rêve de recouvrir tes seins de mon sperme mais tu désires m’offrir ta bouche jusqu’au bout. Je sens un de tes doigts venir pénétrer mon cul et tu sais que cela provoque chez moi une jouissance quasi immédiate. Tu veux libérer mon plaisir extrême. Je me laisse alors aller sur ta langue experte, mes spasmes de plaisir inondent ta poitrine alors que tu me caresses les couilles. Tu continues à me branler doucement. Je vois mon jus luisant sur ta poitrine que je vais te demander de ne pas essuyer. Nos complices du moment ont également joui et profitent encore de ce spectacle.
Nous savons que ce n’est que le début de la soirée et je devine un sourire réjoui sur tes lèvres : ce n’est que le début de notre soirée.
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Il n'y a qu'avec lui que j'ai plaisir à m’y livrer. Parce que ce n'est pas juste un échange de masturbations, c’est une vraie prise
de possession de nos plaisirs réciproques. Le jeu mental transcende les sensations qu'on se procure. Il aime le virtuel, pas pour remplacer le réel, mais pour le décupler.
J'ai un plaisir fou à me montrer à lui à travers cet écran, voyant son désir dans ses yeux, ou le devinant à travers ses mots si je ne le vois pas ou à peine lorsque je m’éloigne de l’écran.
Que je le voie ou non n’a d’ailleurs pas beaucoup d’importance parce que dans tous les cas je ressens son regard et il sait me communiquer son excitation pénétrante par des mots. J’aime qu’il y
ait le clavier et les mots écrits entre nous.
Nous nous étions contactés un peu plus tôt et nous étions mis d’accord pour nous retrouver en milieu de soirée.
Je le bippe et lui dis que je suis disponible pour notre petite séance. Je ne branche pas encore la cam, lui non plus.
Je lui demande quelle tenue il aimerait que je porte. Il plaisante « Tu n’es pas prête ? Ce n’est pas sérieux… » Je lui réponds que j’attendais ses ordres.
Il fait une suggestion, j’en
ai une qui lui plaira encore plus : une robe en latex de Catanzaro. Il acquiesce avec envie. Je vais me préparer.
Je savoure l’enfilage des vêtements en me caressant.
Il commence à s’impatienter et m’envoie un message malicieux…
« Attends, il faut le mériter… Tu bandes assez ? »
Il me demande de lui décrire ce que je porte. Cette robe, très courte, qui frôle mon pubis, qui comprime mes seins vers la large échancrure, mes cuisses enserrées dans des bas, qui s’arrêtent tout près de mon sexe, et par-dessus, bien hautes, des bottes à talon. Il aime.
Il me propose de me raconter sa soirée de la veille, pour m’exciter. Il me décrit leurs préliminaires, le contexte, les tenues. Je l’interroge. Il me donne encore des détails.
Puis il s’interrompt. Il lance le démarrage de la cam. « Je veux vérifier que tu ne te caresses pas tant que je ne te l’ai pas dit. » Il me demande de mieux lui montrer comment je suis vêtue. Il est sous le charme, très satisfait. Il continue la description de sa soirée et je commence à passer mes doigts sur mes seins, mes cuisses, sans toucher à mon sexe.
C'est une
cam unilatérale cette fois. Je ne le vois pas, je ne vois que ses mots. J'ai suffisamment confiance en lui pour cela. Mais même avec lui, fidèle à mes habitudes, je cadre pour que mon visage ne
soit pas visible. Seulement ma bouche aux meilleurs moments. Et puis je trouve que c'est plus érotique comme cela, étant plus anonyme et laissant plus de place à l'imagination.
Il arrête progressivement son récit pour ne plus parler que de moi.
Il voudrait sentir le goût de ma chatte, mettre son sexe dans ma bouche, que je le suce.
Je lis ce
qu'il écrit, tout ce que me voir lui inspire, tout ce qu'il aimerait me faire.
Il me dit d’imaginer sa langue entre mes cuisses. Il me voudrait à genoux devant lui, pour me prendre par les cheveux et frotter sa queue contre mon visage.
« Vas-y, caresse-toi maintenant » Il me dit qu’il a envie de me fesser, de mordre mes tétons à les faire
frémir.
Je lui propose d’aller chercher une cravache et il est d’accord, bien
sûr.
Je passe
la cravache sur mes seins.
Je cadre l'image pour qu'on ne voie pas mes mains. On voit juste la cravache qui se promène, comme tenue par une autre main que la mienne.
Cela me ramène à cette scène d'un film porno que j'avais vu il y a bien des années et dans laquelle une jeune fille qui devait figurer le petit chaperon rouge en mini jupe croise deux hommes
en tenue de chasse, qui bien sûr l'abordent. Ils parlent un peu. Un des hommes lui dit: "Mais c'est dangereux de se promener toute seule comme ça." Et elle répond: "Ah oui? Pourquoi? Qu'est-ce
qui pourrait bien m'arriver?" "Tu pourrais croiser des hommes qui pourraient avoir envie d'en voir plus." Et il soulève sa jupe de la pointe de son fusil. Et elle, d'un air ingénu: "Mais ça
pourrait être agréable?" Et après avoir écarté ses vêtements de la pointe du fusil, il l'emmène dans une cabane. Il lui propose de s'asseoir.
Là, mon imaginaire a remplacé la suite du film.
C'est une scène que j'ai souvent visualisée à nouveau en me masturbant. Impossible de déterminer si ce qui m'excite le plus est d'imaginer être à la place de l'homme ou à celle de la fille.
Et je laisse le jeu continuer. L'homme, en tirant le verrou de la porte de la cabane: "Tu pourrais te retrouver prisonnière." "Ah oui?" Elle est assise sur une botte de paille, en
contrebas de lui, ses seins débordant de son bustier rouge. Lui: "Tu sais que tes seins sont très excitants?" "Mais tu n'auras le droit de les toucher que si tu le mérites" Il la dévore des yeux
et sort une thermos de café. Elle écarte légèrement les jambes. Il lui tend une tasse de café et pose un doigt dans son décolleté. Elle acquiesce. Il pose la main sur son sein, le fait jaillir du
décolleté en la regardant. Il semble que le jeu entre eux est qu’il a le droit d’aller plus loin quand elle l’y autorise, mais peut-être que j’ai inclus cela dans mon souvenir et que ça n’y était
pas au départ. Il la dévore des yeux, caresse ses seins dénudés. Il est fou d’excitation. Cela dure longtemps et mon excitation à moi aussi monte terriblement. Et puis quand je n’en peux plus, je
les visualise, elle qui se retourne et l’autorise à la prendre par derrière. Ils viennent très vite. Et moi aussi.
Le désir que je prête à R en ce moment, de l’autre côté de l’écran, est le même que celui de cet homme, ce « chasseur », avec lequel cette fille joue. Cette cravache est un accessoire avec lequel je le manipule plus qu'il ne me domine.
Il continue à écrire ce qu’il aimerait me faire.
« Je t’allongerai sur le dos, je t’ordonnerai d’écarter mes cuisses pour sentir la cravache sur ta chatte humide. »
Je passe la cravache sur mon sexe et lui montre la tige luisante.
Il continue. Sa main sur mon sexe, ses doigts qui me pénètrent, deux, puis trois... Je ne
désirerais plus qu'une chose, qu'il rentre complètement en moi... Il me fisterait lentement, pour me rendre folle de plaisir. Ma chatte qui s'écarte de plus en plus...
«Tu aimes ça, hein?»
Je prends le gode.
Je commence à me masturber avec.
Je le passe sur ma chatte et lui montre comme il est mouillé.
Je le lèche comme si c'était son sexe.
Je n'en peux plus, j'ai envie de me faire jouir.
«Fais-toi jouir, salope, lâche-toi, ne pense plus à rien.»
Je veux
jouir avec mon clito d'abord. Il est d'accord. Il continue à me dire ce que sa bouche lui ferait à la place de mes mains et de ce gode. Le mordiller. Me sentir couler sur ses lèvres. Je me
caresse et approche mes doigts de la cellule et les lèche avidement.
Je jouis très fort. Et je recommence... Encore une fois...
«Prends-toi maintenant.»
Je voudrais son sexe.
Je lui demande de me décrire ce qu'il fait en me regardant. Il se caresse, le sexe, les couilles...
Il voudrait prendre ma tête et s'enfoncer dans ma bouche pendant que je me gode.
La cam ne me suffit plus. Je voudrais entendre sa voix, ses gémissements. Il m'appelle et je garde le téléphone tout près de mon oreille.
J'enfonce doucement le gode en l'écoutant continuer. Je lui décris mes sensations de plaisir.
J'accélère mes mouvements, de plus en plus rapides, en passant bien le gode sur l'avant de mon vagin. Sa voix me remplit... Je lui montre ma jouissance extrême...
Et je l'entends jouir aussi... Comme s'il était en moi...
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